On voudrait retrouver les orages que l’on avait connus, là
dans ces jours ou le ciel n’était pas encore ce ciel que l’on connait
maintenant ; ramasser les pluies,
goutte a goutte et remplir les cœurs de l’espoir qu’on découvre quand on
a la sagesse et la chance d’avoir aperçu la valeur du petit instant qu’il faut
vivre et en faire aussi cadeau aux hommes, dont ils sont nos frères, et a eux,
comme a nous, appartient le monde que l’on doît préserver jusqu'à la fin.
© Albert Balada
02-02-2014